mardi 22 septembre 2009

Le vieux continent et la ligne de basse 303.

Cet article sera court.
Je reviendrai plus tard sur ce thème.
L'Eurodance n'est pas morte. Loin de là. Passons les frontières de l'hexagone, aiguisons un peu nos esgourdes et payons attention a ce qui se passe dans les radios au delà de Metz, Calais, Le Perthus.
A l'est, l'etno music, le turbo folk par exemple.
Chez nos voisins Rosbiff, grand inventeur de styles, l'eurodance a accouché d'un fils.
Un petit mélange de RnB sirupeux, de la blonde en bikini, du gros renoi, viril et gangsta(jusqu'ici tout va bien) et du 2 step (rejeton du uk garage, de la lointaine drum n' bass).
La bassline. Ca porte bien son nom.
Bassline. Ligne de basse.

Ca vient de Sheffield, ex ville industrielle, noire de chômage et de paysages pauvres, mais si riche en terme d'anglais créatifs. Sheffield, c'est Roubaix, mais avec des idées sonores.
Il y a un super film docu à voir sur cette ville. "Fucking Sheffield": en pleine 90's, on voit comment le chomdu pousse à se lancer dans la société du spectacle et l'industrie cul-turel.
Fini le blabla, passons à la bassline.
Booya !





Le dernier est un remx de Dizee Rascal. Pour faire simple, une instru bassline, sur du rap grimme. Ovastand chavy bwoy ?


La rchouma, j'aime bien. La bassline, justement, me fait un truc. La succession rapide des kicks et des snares. Focalisons, oublions le chant.

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