lundi 14 septembre 2009

J'ai mangé trop de tarte au citron meringuée: j'vois ma vie défiler devant mes yeux.

1978, Gerry Raferty chante Baker Street. C'est tendu.
En alternative à George tout puissant et pour ceux dont les orientations évoluent très haut dans le ciel, ou très bas dans le subway. Un premier frisson nommé éros, de ceux que l'on obtient en bas âge, limite infligés par le cercle familial, entre Maxime Le Forestier et Van Morrison.
Soit, Gerry, la pierre à l'édifice. Baker Street, l'alter ego non pas pointu mais presque underground de Careless.





J'ai dégusté l'introduction durant 26 secondes exactement, jusqu'à ce que le saxophone s'impose par son évidence et me plonge dans une atmosphère aux contours dilatés, et aux maillots de bains échancrés..

PS: S'apprécie mieux les yeux clos 'with random thoughts'. Et en remplaçant la voix d'origine par celle de Barry, on acquiert l'essence d'un érotisme 'early 80's' fictif, car non vécu, mais rien ne se soustrait aux images de l'esprit...(J'me dégoûte moi même..)


Et puis ça c'est drôle un peu: http://www.privatedickmovie.co.uk/


Et puis ça ;)

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